Connaissez-vous le magazine de bord « Arc en Ciel » disponible dans la petite pochette vous faisant face sur tous les vols de la compagnie Air Caraïbes ?
Ce magazine bimestriel vous plonge au cœur des destinations desservies par la compagnie, à travers une présentation des bons plans du moment et une approche thématique variée, où art de vivre, bien-être, sport, culture, écotourisme, gastronomie et mode sont à l’honneur.
Zoom sur le carnaval aux Antilles
Riches en couleurs, les sujets abordés vous délivrent les clés d’un séjour réussi aux Antilles/Guyane et en France métropolitaine.
Un magazine captivant et facile à lire, composé de 100 pages d’articles et de reportages originaux et d’une maquette largement illustrée en photographies pour le plaisir des yeux !
À découvrir à bord de nos avions et dans nos agences Air Caraïbes ou sur le site internet de la compagnie.
Dans cette édition n°67 du magazine Arc en Ciel, outre les traditionnels voeux du Président du Directoire d’Air Caraïbes, Marc Rochet, vous découvrirez aussi toutes les nouveautés de la compagnie (comme le nouvel aménagement de notre classe Madras (Affaires) sur les vols Paris Orly Sud <> Saint Martin Juliana, une passionnante enquête sur Haïti (à l’heure de la reconstruction) mais aussi des clichés magnifiques et hauts en couleurs d’Aurélien Brusini avec l’agenda des plus beaux carnavals aux Antilles et dans la Caraïbe.
En voici un extrait, histoire de vous mettre l’eau à la bouche…
«(…) Le Dimanche Gras, les masques (les gens déguisés et méconnaissables) circulent en ville et dans les campagnes, faisant claquer leur fouet et rançonnant les automobilistes d’une pièce ou deux, cela, bien sûr, dans un esprit de fête.
Le Lundi Gras, jour des mariages burlesques, dans les groupes ou « vidés » qui défilent, on aperçoit des couples curieusement assortis. Ne manquez pas la parade nocturne.
Le Mardi Gras (17 février) est le jour des diables rouges, qui accompagnent les chars où se trouvent les effigies du carnaval, Vaval, autrement dit le « roi carnaval aux Antilles». Il est célébré dans le cadre symbolique de la fin de la « semaine des sept jours gras », autrefois dits des jours charnels. C’est une période où la population vibre au son de la fête, qui précède le mercredi des Cendres, jour de pénitence indiquant le début du carême. C’est alors le début d’une période de jeûne durant 40 jours précédant Pâques. Ne manquez pas la grande parade du Mardi Gras à Basse-Terre, rassemblant la majorité des groupes venus de tout l’archipel et parfois des îles alentours. Car, s’il existe un défilé à Pointe-à-Pitre parfois le même jour, celui de la ville préfectorale reste le plus « authentique » et il offre le privilège de contempler l’imposante Soufrière en levant simplement les yeux ! Attention toutefois, car le mardi étant férié, la plupart des commerces auront rideau fermé, tout comme le lendemain. Le mercredi des Cendres, jour du grand « vidé », les diablesses vêtues de noir et de blanc brûlent Vaval.
Assister aux défilés – et tout particulièrement aux parades de clôture des jours Gras – est un aboutissement que tout Guadeloupéen attend fébrilement. N’imaginez donc pas rejoindre Pointe-à-Pitre ou Basse-Terre le jour J : vous seriez contraint de suivre les festivités… à travers votre auto-radio !
Ces grands événements culturels modifient ou bloquent les artères principales et il n’existe peu ou pas d’itinéraires bis. Il est alors judicieux d’opter pour un hébergement sur place ou à proximité. Lors des grands défilés, il est en général possible de réserver sa place en gradins à l’endroit stratégique où les groupes font une pause de démonstration. Le nombre de places reste limité par rapport à l’affluence et il est bon de réserver à l’avance auprès de l’Office du Carnaval de la Guadeloupe.»
Pour plus d’infos sur le carnaval en Guadeloupe, retrouvez l’AGENDA CARNAVALESQUE 2015.
